L’agence française de développement est contrainte de faire face aux conséquences économiques de la guerre russo-ukrainienne.
L’agriculture guinéenne est fragilisée par le conflit russo-ukrainienne qui a fait de l’engrais une denrée rare. Son prix augmente considérablement, compromettant l’approvisionnement des cultivateurs. La situation menace un secteur économique vital pour l’emploi de 80 % de la population.
Les investissements, les conditions d’une société durable, mais aussi du maintien de la paix et de la stabilité au menu de la huitième conférence TICAD organisée par le gouvernement japonais à Tunis.
Trois grèves se poursuivent depuis octobre dernier dans la région parisienne. Objectif : la régularisation de dizaines d’intérimaires africains sans papiers.
Transition politique, pandémie de COVID-19, crise ukrainienne, nouvelle découverte de gisement de gaz : autant d’éléments qui ouvrent une nouvelle étape dans la montée en puissance de l’Algérie sur la scène énergétique.
Le Nigeria compte 40 millions de petites et moyennes entreprises qui emploient 80 % de la population et contribuent à hauteur de 50 % à la croissance du pays. La Société islamique pour le développement du secteur privé (SID) est la filiale du secteur privé de la Banque islamique de développement qui met en place une stratégie de partenariat avec les banques locales pour permettre aux PME de trouver des financements adaptés.
Créée en 1963, l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle garantit la protection des brevets et des marques, et lutte contre la contrefaçon. L’OAPI contribue au développement économique et social du continent.
Denis Bohoussou, directeur général de l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle, nous parle de sa mission au sein de cette institution. Il contribue à la protection des inventions du continent et souhaite faire reconnaître et collecter les droits d’auteurs des créateurs africains.
Le Ghana, un pays avec une riche histoire de fabrication textile, doit aujourd’hui faire face aux vêtements d’occasion et aux importations de tissus. Pour se démarquer et faire vivre le secteur, l’industrie textile du pays se tourne aujourd’hui vers la tradition et le « Made in Ghana ».
