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Sommet Dakar 2 « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience »

Sommet Dakar 2 « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience »

Le Sommet Dakar 2 s’est tenu du 25 au 27 janvier au Sénégal et a rassemblé plusieurs dizaines de dignitaires, des chefs d’État et de gouvernement, ainsi que des partenaires au développement invités par la Banque africaine de développement et le gouvernement sénégalais. L’objectif principal de ce sommet était de libérer le potentiel alimentaire de l’Afrique en mobilisant et mettant en cohérence le financement du secteur privé, les ressources gouvernementales et les partenaires au développement. Dans le monde, 828 millions de personnes souffrent de la faim, dont 249 millions se trouvent en Afrique. Pour atteindre l’objectif 2 du développement durable, la faim zéro, il faut d’abord qu’il le soit sur le continent.

Apprendre le chinois, une solution pour faire face au chômage en Afrique

Apprendre le chinois, une solution pour faire face au chômage en Afrique

La Chine est le troisième partenaire commercial du Bénin, avec des échanges commerciaux évalués à plus de 60 milliards de dollars américains par an, et le premier de l’Afrique. Selon un rapport publié à Pékin en 2021 par China-Africa Business Council, les entreprises privées chinoises représentent environ 70 % des investissements en Afrique. La Chine réalise plus du tiers des projets d’infrastructures sur le continent. En 2009, l’Institut Confucius a été créé et installé sur le campus d’Abomey-Calavi offrant une formation pour obtenir une licence en traduction et interprétariat en chinois. Les étudiants de cette école sont les plus recherchés sur le marché de l’emploi en Afrique. Certains travaillent aussi comme guides touristiques.

Interview Natty Ngoy, fondatrice de la marque d’accessoires et de maroquinerie INADEN

Interview Natty Ngoy, fondatrice de la marque d’accessoires et de maroquinerie INADEN

Natty Ngoy est une entrepreneuse française de la diaspora africaine qui travaille avec des maîtres artisans dans des ateliers du cuir en Éthiopie pour élaborer de la maroquinerie et des accessoires. Elle a créé son entreprise en 2013 avec pour objectif de faire valoriser le travail, la création et les produits africains. Les matières premières utilisées sont à 97 % originaires du continent. INADEN se prononce « inadène » et signifie « artisans » en dialecte tamasheq, langue d’origine berbère.

Les larmes autour de la construction du métro d’Abidjan

Les larmes autour de la construction du métro d’Abidjan

En Côte d’Ivoire, le progrès économique impose de lourds sacrifices sociaux et humains à la population. Le tracé du chantier du métro urbain d’Abidjan confronte les riverains à la démolition de leur maison. Les résidents à proximité du camp du 43e bataillon d’infanterie de la marine française, situé dans la commune balnéaire de Port-Bouët, ont été sommés de quitter leur logement sans préavis. Ce sont plus de 150 familles qui sont concernées sur les 13 000 affectées par le projet. Retrouver un logement, éduquer les enfants… leur avenir est désormais menacé par ce changement de vie précipité.

La carte GIMAC bouscule le marché digital bancaire en Afrique centrale

La carte GIMAC bouscule le marché digital bancaire en Afrique centrale

Valentin Mbozo'o, directeur général du Groupement interbancaire monétique de l’Afrique centrale (GIMAC), veut faire entrer le digital dans tous les foyers africains, avec des systèmes simples et sécurisés pour les transferts d’argent et les cartes de paiement. En 2015, il a lancé la carte interbancaire GIMAC avec la Banque centrale des États d’Afrique centrale (BEAC). Cela a permis de démocratiser l’utilisation de la carte bancaire au sein des six pays membres de cette entité et a facilité les transferts et transactions mobiles de ses utilisateurs. Aujourd’hui, dans la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), la carte GIMAC se place en deuxième position après la carte VISA.

Au Gabon, l’histoire d’une réussite nommée les Chocolats Gabonais de Julie

Au Gabon, l’histoire d’une réussite nommée les Chocolats Gabonais de Julie

L’industrie de la confiserie du chocolat représente un marché global de près de 115 milliards d’euros par an à travers le monde. Pendant longtemps, les pays africains producteurs de cacao se sont contentés d’exporter des fèves et d’importer du chocolat, empêchant ainsi le développement de la production locale. Julie Nyangui, une entrepreneuse gabonaise, se bat pour atteindre la meilleure qualité possible dans la fabrication de chocolat à partir de ressources locales. Son objectif, le chocolat 100 % africain.

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