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L’autosuffisance alimentaire à portée de main en RDC

L’autosuffisance alimentaire à portée de main en RDC

Dans la province du Nord-Kivu ravagée par la guerre entre les forces armées congolaises et les rebelles du M23, le secteur agricole est aujourd’hui très affecté. Bernard Bahati est un entrepreneur congolais de l’est de la RDC qui est convaincu de l’autosuffisance alimentaire comme préalable au développement économique et même au retour de la paix. Avec son usine de transformation de maïs, Okapi-Agrobusiness, qui emploie 50 personnes et qu’il a lui-même financée, il a décidé de contribuer à la sécurité alimentaire de la région.

Ruée vers le cajou en Guinée

Ruée vers le cajou en Guinée

La production de noix de cajou en Afrique de l’Ouest a augmenté de 5,4 % l’an dernier, pour atteindre un volume total de 2,6 millions de tonnes. La culture des anacardiers est particulièrement prisée dans la région, qui regroupe des pays producteurs comme la Côte d’Ivoire, qui représente 44 % de la production ouest-africaine, mais aussi le Nigéria et la Guinée Bissau. En Guinée, les agriculteurs se lancent dans la culture de noix de cajou, plus rentable que l’exploitation de bauxite. Le cajou reste l’une des matières premières les plus lucratives sur le marché international.

Sommet Dakar 2 « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience »

Sommet Dakar 2 « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience »

Le Sommet Dakar 2 s’est tenu du 25 au 27 janvier au Sénégal et a rassemblé plusieurs dizaines de dignitaires, des chefs d’État et de gouvernement, ainsi que des partenaires au développement invités par la Banque africaine de développement et le gouvernement sénégalais. L’objectif principal de ce sommet était de libérer le potentiel alimentaire de l’Afrique en mobilisant et mettant en cohérence le financement du secteur privé, les ressources gouvernementales et les partenaires au développement. Dans le monde, 828 millions de personnes souffrent de la faim, dont 249 millions se trouvent en Afrique. Pour atteindre l’objectif 2 du développement durable, la faim zéro, il faut d’abord qu’il le soit sur le continent.

Apprendre le chinois, une solution pour faire face au chômage en Afrique

Apprendre le chinois, une solution pour faire face au chômage en Afrique

La Chine est le troisième partenaire commercial du Bénin, avec des échanges commerciaux évalués à plus de 60 milliards de dollars américains par an, et le premier de l’Afrique. Selon un rapport publié à Pékin en 2021 par China-Africa Business Council, les entreprises privées chinoises représentent environ 70 % des investissements en Afrique. La Chine réalise plus du tiers des projets d’infrastructures sur le continent. En 2009, l’Institut Confucius a été créé et installé sur le campus d’Abomey-Calavi offrant une formation pour obtenir une licence en traduction et interprétariat en chinois. Les étudiants de cette école sont les plus recherchés sur le marché de l’emploi en Afrique. Certains travaillent aussi comme guides touristiques.

Interview Natty Ngoy, fondatrice de la marque d’accessoires et de maroquinerie INADEN

Interview Natty Ngoy, fondatrice de la marque d’accessoires et de maroquinerie INADEN

Natty Ngoy est une entrepreneuse française de la diaspora africaine qui travaille avec des maîtres artisans dans des ateliers du cuir en Éthiopie pour élaborer de la maroquinerie et des accessoires. Elle a créé son entreprise en 2013 avec pour objectif de faire valoriser le travail, la création et les produits africains. Les matières premières utilisées sont à 97 % originaires du continent. INADEN se prononce « inadène » et signifie « artisans » en dialecte tamasheq, langue d’origine berbère.

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