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Maria Luisa Arango

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Sadibou Marong engagé pour la protection des journalistes en Afrique

Sadibou Marong engagé pour la protection des journalistes en Afrique

Sadibou Marong est un journaliste sénégalais qui occupe le poste de directeur Afrique de l’Ouest de Reporters sans frontières (RSF), basé à Dakar. L’organisation RSF à Dakar travaille pour la défense et la formation de journalistes, mais également pour renforcer le réseau de correspondants et de partenaires locaux, principalement au Sénégal, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, au Bénin et au Togo. Sadibou Marong nous parle, entre autres, des injustices subies par des journalistes en Afrique, des obstacles auxquels fait face la liberté de la presse et de l’évolution du journalisme dans le continent.

En Guinée, une plateforme numérique pour améliorer le système éducatif

En Guinée, une plateforme numérique pour améliorer le système éducatif

La révolution numérique s’invite à l’ouest de l’Afrique, en Guinée, grâce à Magoé Education, une plateforme éducative qui permet de suivre les progrès de l’apprenant à l’école ainsi qu’à la maison. Cette plateforme numérique a été créée en 2019 par un jeune informaticien du pays pour les révisions des élèves et le suivi de leur scolarité. Aujourd’hui, elle compte 15 000 utilisateurs, et une centaine d’écoles l’exploitent en Guinée et dans la sous-région.

Ruée vers le cajou en Guinée

Ruée vers le cajou en Guinée

La production de noix de cajou en Afrique de l’Ouest a augmenté de 5,4 % l’an dernier, pour atteindre un volume total de 2,6 millions de tonnes. La culture des anacardiers est particulièrement prisée dans la région, qui regroupe des pays producteurs comme la Côte d’Ivoire, qui représente 44 % de la production ouest-africaine, mais aussi le Nigéria et la Guinée Bissau. En Guinée, les agriculteurs se lancent dans la culture de noix de cajou, plus rentable que l’exploitation de bauxite. Le cajou reste l’une des matières premières les plus lucratives sur le marché international.

Menno Holterman – un grand défenseur des ressources en eau

Menno Holterman – un grand défenseur des ressources en eau

Menno Holterman est l’un des fondateurs de la Semaine internationale de l’eau à Amsterdam et le président de Njihuis Saur Industries. Au cours de cet entretien qui s’est déroulé récemment à Dubaï, il a parlé de la rareté de l’eau, de la répartition des ressources en eau dans le monde, des activités de Saur en Afrique, du manque d’infrastructures pour le traitement de l’eau, du lien entre l’eau et la transition énergétique et, enfin, de la sécurité alimentaire.

WEEE CENTRE, une entreprise kényane innovante qui travaille en faveur de l’économie circulaire

WEEE CENTRE, une entreprise kényane innovante qui travaille en faveur de l’économie circulaire

WEEE CENTRE, pour Waste Electrical and Electronic Equipment Centre, est une entreprise engagée dans l’économie circulaire grâce au traitement de déchets électriques et électroniques. Objectifs : → Éliminer les déchets de manière efficace et sécurisée, puis les recycler → Offrir des services de sensibilisation et de formation → Protéger l’environnement et la santé publique

Interview de Djaïli Amadou Amal

Interview de Djaïli Amadou Amal

Née au nord du Cameroun, Djaïli Amadou Amal est une écrivaine, militante et féministe qui n’a pas hésité à fuir deux mariages, dont un forcé, pour vivre de sa passion de l’écriture et défendre les droits des femmes. Grâce à son roman « Les impatientes », elle a été la première Africaine finaliste du prix Goncourt des lycéens 2020 en France. Dans ce roman, elle a puisé son inspiration dans la condition des femmes auxquelles on demande le jour de leur mariage d’être patientes. Ce roman est aujourd’hui couronné dans le monde entier et même au programme de terminale des lycées camerounais. Lors de cet entretien, elle nous parle de son association et de sa conception du féminisme pour le progrès des femmes en Afrique.

Le Club le Potager

Le Club le Potager

Le Club Le Potager a été créé il y a près de cinq ans et compte aujourd’hui plus de 800 enfants et adolescents qui prennent part au projet. Âgés de 4 à 17 ans, ils sont issus d’établissements scolaires des villes de Douala et Yaoundé, au Cameroun. L’objectif principal de ce club est de permettre aux enfants et aux parents de se reconnecter avec la nature et de s’initier à l’agriculture et à l’élevage. Dans ce pays, l’agriculture contribue à environ 17 % du P.I.B.

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