Marchés submergés, habitations et sites touristiques partiellement emportés, circulation rendue impossible : Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo peine à se relever d’inondations catastrophiques. Le dérèglement climatique, l’état des canalisations et l’absence de système d’alertes sont autant de facteurs qui ont contribué à alourdir le bilan.
Partons à la découverte de l'île d'Agonvè, située à proximité de Cotonou au Bénin, où les habitants ont entrepris une démarche innovante de gestion intégrée des ressources en eau. Découvrez les pratiques originales et les stratégies mises en place par cette communauté pour préserver et exploiter durablement leurs précieuses ressources hydriques.
FANCOCO est une startup créée par Cherif Dine Akedjou en 2015 au Bénin. C'est en 2019 que cet entrepreneur décide de transformer des déchets de coco en une multitude d'objets esthétiques et fonctionnels. En peu de temps, le concept a pris et il se révèle aujourd’hui comme un pionnier dans ce domaine.
Marchés submergés, habitations et sites touristiques partiellement emportés, circulation rendue impossible : Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo peine à se relever d’inondations catastrophiques. Le dérèglement climatique, l’état des canalisations et l’absence de système d’alertes sont autant de facteurs qui ont contribué à alourdir le bilan.
🇲🇬 Au centre de Madagascar, dans la région d'Itasy, les tapias, ces arbres des hauts-plateaux, sont massivement coupés pour le bois de chauffe et la production de charbon de bois. Une déforestation néfaste pour ces arbres à l’écorce épaisse, que l’on ne trouve qu’à Madagascar et qui servent d’habitat au landibe, un ver à soie sauvage. Bien conservée, la forêt de tapia peut être bénéfique à l’économie locale. En collaboration avec des associations locales, des ONG tentent d’inciter à une meilleure gestion pour préserver cet habitat naturel. Cette démarche participative, en coordination avec la communauté locale, conduit non seulement à la conservation de la biodiversité, mais aussi à l’amélioration de la qualité de vie des riverains à travers la redynamisation de la filière soie.
Quelle transition énergétique pour l’Afrique ? C’est la question qui se pose aux lendemains de la COP 28 de Dubaï. Il faut dire que plusieurs régions de l’Afrique ont ouvert depuis longtemps le chapitre des énergies renouvelables. C’est le cas du Sénégal, un des pays qui voudrait devenir leader des énergies vertes en Afrique subsaharienne. Cette ambition passe par l’extension d’un parc de panneaux solaires. Déjà certains projets soutenus par des partenaires comme le FIDA ont été réalisés au profit des populations rurales pour les aider à faire face aux pénuries d’eau. Exemple des bienfaits de la pompe solaire dans le sud-est du pays avec ce reportage.
La société civile africaine cherche à sensibiliser les populations au concept de justice écologique dans un continent où le combat en faveur de l'environnement est particulièrement complexe.
